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Des frontières mal définies entre Etterbeek, Watermael-Boitsfort et Woluwe-Saint-Pierre font glisser les ruelles de cette commune aux allures de village jusqu’aux portes de la tranquille forêt de Soignes.
Avant d’être l’une des 19 communes de Bruxelles, Auderghem est un carrefour entre le tumulte de la ville et le calme de la forêt de Soignes.
Appréciée des employés des Institutions européennes
Fréquentée par de nombreux Français en poste à la Commission Européenne, dans le quartier Beaulieu, elle offre les avantages d’une vie cosy, comparable à celle proposée par les jolis quartiers ucclois.
Son plus : une proximité non négligeable avec les institutions, que ce soit en voiture, en bus, en métro et en tram.
Axe d’entrée à l’autoroute Bruxelles-Namur, l’endroit a des soucis de circulation, mais l’air, heureusement, n’est pas saturé. La forêt de Soignes, véritable havre de verdure, assure une protection naturelle contre ce type d’inquiétudes.
Un quartier qui respire
Le Rouge Cloître, cet ancien prieuré entouré d’étang, propose une respiration incomparable, entre larges pelouses avec accès direct à la forêt, plaines de jeux, écuries, centre d’art et points d’observation permettant de découvrir toute la faune des environs.
De l’autre côté du boulevard du Souverain, la promenade de l’ancien chemin de fer Bruxelles-Tervuren, longue de 6 kilomètres, permet de découvrir de formidables lieux de verdure entre Auderghem et Woluwe-Saint-Lambert : le parc du Bergoje ou le domaine de Val Duchesse et son château, entre autres.
Le Centre culturel fait office d’église au milieu du village, rassemblant régulièrement les amateurs de théâtre, musique ou installations autour d’événements de qualité.
Promenades, bol d’air, détente, découvertes, Auderghem est plus un lieu proche de la nature et la culture qu’un rendez-vous de « shopping ».
Une village urbain avec sa vie culturelle
Le Centre culturel fait office d’église au milieu du village, rassemblant régulièrement les amateurs de théâtre, musique ou installations autour d’événements de qualité.
Les commerces de proximités et le marché du jeudi matin ont peu à peu été négligés au profit de deux centres commerciaux tout proches. Le Carrefour du boulevard du Souverain, le grand traiteur Rob et le Woluwe Shopping Center, à un saut de puce en métro ou en voiture, répondent aux habitudes de consommation des habitants. Un bémol qui se transforme en avantage pour les pressés.
Du côté de la place Pinoy, village urbain à taille humaine assez proche de la cité jardin du Logis pour en tirer les bénéfices d’une douceur de vivre évidente, les habitants ne cessent de vanter les mérites d’une commune où l’homogénéité architecturale et le sentiment de sécurité règnent.
Panier bio, compost de quartier, projet de chalet de quartier, les initiatives des comités pullulent. La brocante, chaque 1er dimanche du mois, donne l’occasion de se balader dans ces quelques rues paisibles.
