Ce qui coûte un bras à un Français coûte un pont à un Belge...
Cette oeuvre architecturale semble ainsi régulièrement associée à l’argent en Belgique. Ici, notre modeste « prêt relais » français qui permet notamment d’acquérir un bien convoité sans être obligé d’attendre la vente d’un autre est nommé « crédit pont ».
De quoi relier les deux rives d’un rêve : celui d’acheter avant même d’avoir vendu. Très dangereux, paraît-il, et surtout, « cher et vilain » …