L'équivalent du « Il peut toujours courir » en français.
Lorsqu’on n’a pas l’intention de se rendre aux injonctions de quelqu’un, dans quelque domaine que ce soit, le Français dira : « Il peut toujours courir ». Ce qui est, somme toute, un service à rendre en une époque où l’on ne fait jamais assez de sport.
Le Belge est plus exigeant, et son refus de passer par les fourches caudines de son interlocuteur se traduira par un « il peut danser sur sa tête », ce qui, avouons-le, est nettement plus difficile à réaliser qu’une simple petite course.