Tandis que le Français part déjeuner avec ses collègues de bureau, dîne en famille, soupe avec sa femme après le théâtre, petit-déjeune le matin, voire « brunche » s’il est snob, anglomane et lève tard, le Belge déjeune le matin, dîne à midi et en règle générale, s’embarrasse beaucoup moins des différenciations temporelles : quand il a faim, il « va manger ». Point barre.
C’est finalement le plus logique (même si ce n’est pas le plus élégant), car c’est bien cela dont il est question, et les frontières n’y changent rien !