C’est l’expatriation familiale à Zürich, en 2012, qui a donné à Laurence Casala, alors consultante en organisation/chef de projets, l’occasion de faire une pause dans sa carrière. La jeune femme entame alors une vraie introspection quant à l’éducation et aux valeurs qu’elle souhaite transmettre à ses enfants. Les années passent, elle entend parler de la discipline positive en France. « Cela m’a tout de suite séduite ! éduquer avec bienveillance et fermeté n’est pas incompatible. Personne n’est formé à devenir parent, alors que c’est le rôle le plus important d’une vie. » à l’occasion d’une nouvelle expatriation à Bruxelles en janvier 2017, elle décide d’y développer la discipline positive. Ni permissive ni punitive, la méthode consiste à développer chez l’enfant l’autonomie, la confiance en soi, le sens des responsabilités, la recherche de solutions, le respect de soi et des autres. Les ateliers, organisés à Uccle, destinés aux parents, voire aux grands-parents, allient théorie et activités pratiques et interactives, afin de faciliter l’intégration des outils. « Il ne s’agit en aucun cas d’une recette miracle, mais d’un précieux allié qui donne les clés pour faire au mieux. »