Le quartier de la rue Vanderkindere

Paru dans JV n°38 | Texte : Julie Galand, Photos : C. Van Den Branden / Verypics

Vanderkindere

Vanderkindere: une rue, plusieurs quartiers

Si son sens unique et sa dominante de petites maisons dites « ouvrières » s’étendent d’un bout à l’autre de la rue, pour le reste, il convient de distinguer plusieurs tronçons. « En effet, souligne Marc Goldbrenner, directeur des ventes de l’agence Lecobel, la rue Vanderkindere ne constitue pas une entité, et on peut la résumer en trois parties.

La première, qui s’étend de la chaussée de Waterloo à la rue Dodonée, est constituée d’une majorité de commerces et de petites maisons se situant dans le moyen de gamme », de nouvelles adresses un peu plus pointues ou attrayantes telles que Stival et l’atelier du café de la Presse s’étant récemment ajoutées à des commerces de proximité plus classiques.

« La seconde partie, que l’on peut situer entre la rue Dodonée et la place Vanderkindere, est la partie la plus haut de gamme, proximité de la place Brugmann et de rues avoisinantes huppées oblige. » Ici, les enseignes plus qualitatives et luxueuses commencent à se multiplier, telles que le Saint-Aulaye, Thierry Boutemy et Petrossian... Du coup, les prix flambent de façon souvent inconsidérée, au grand dam de la population d’origine.

« Enfin, la troisième partie, allant de la place Vanderkindere (avenue Brugmann) jusqu’à la chaussée d’Alsemberg, où elle se termine, est beaucoup plus mixte et populaire, avec de petits commerces de proximité, magasins de chaînes et autres enseignes plus modestes. »

 

 

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