Pour les parents, la douce époque des fêtes de fin d’année peut rimer avec scier. Scier les bûches, sûrement. Se faire scier les côtes par les enfants, peut-être...
L’enfant belge qui scie les côtes de ses parents est le double du petit Français qui ne lâche pas le morceau, qui reste tel un roquet accroché au bas du pantalon.
On reprochera évidemment à l’un comme à l’autre d’insister lourdement pour obtenir quelque chose.