Il suffit d’avoir une seule fois effleuré le pare-chocs d’une voiture en se garant pour savoir combien les Belges sont attachés à l’intégrité de leur voiture.
Dès lors, la moindre petite égratignure, la plus invisible des bosses, la plus insignifiante rayure, les envoie chez le carrossier pour réparer ces « blouches » ou « bloech » intolérables qui qualifient les dégâts de toute nature suite à un accrochage, qu’il soit grave ou anodin.